Wednesday, December 17, 2014
1. La communauté grecque et ses institutions à Constantinople, Imvros et Ténédos. 2. Ankara a accusé Athènes de violer les droits de la minorité musulmane.
How come and out of the 130.000 Greeks in 1923, there are less than 3.500 left today ???! m.l.p.
Le ministre des Affaires étrangères turc Mevlut Cavusoglu a critiqué la Grèce pour non-respect des droits des "Turcs" (sic) vivant dans ce pays. Selon lui,
la Turquie respecte les droits de la minorité grecque qui réside sur
son territoire, et la Grèce « fait l’inverse »............
....... http://french.ruvr.ru/news/2014_12_13/Ankara-a-accuse-Athenes-de-violer-les-droits-de-la-minorite-turque-6221/ --------
....... http://french.ruvr.ru/news/2014_12_13/Ankara-a-accuse-Athenes-de-violer-les-droits-de-la-minorite-turque-6221/ --------
- La communauté grecque et ses institutions à Constantinople, Imvros et Ténédos....
Suite au Traité de Lausanne (1923) et des accords precédenats qui prévoyait des échanges de populations (cf. Les Grecs pontiques),
plus de 130 000 Grecs sont restés à Constantinople, Imvros et Ténédos.
Depuis lors, une série de persécutions systématiques initiées par l’État
turc, en dépit des obligations que ce dernier avait assumées
conformément au Traité de Lausanne, atteint leur paroxysme avec les (1.)Événements de septembre (1955) et (2.)
les expulsions (1964) a conduit à une diminution progressive et
radicale de l’élément grec (dynamique du point de vue social, économique
et culturel) et à son émigration. Aujourd’hui, il reste moins de 3.500
Grecs en Turquie.
1.) En septembre 1955, une horde de
manifestants à Constantinople, organisés selon un plan précis, se sont
retournés contre le Patriarcat œcuménique et la communauté grecque,
saccageant 1.004 habitations, 5.000 petites et grandes entreprises, deux
cimetières, 73 églises, 23 écoles et 5 centres sportifs. Suite à ces
événements, environ 9.000 Grecs ont été contraints de quitter la Turquie
jusqu’en 1960.
2.) En mars 1964, la Turquie
«dénonça» l’Accord bilatéral d’Etablissement (1930). En l’espace de deux
ans, plus de 12.000 Grecs établis en Turquie furent expulsés du pays et
privés de tous leurs biens mobiliers et immobiliers. Suite à cela, des
milliers de Grecs de nationalité turque et leurs familles furent obligés
de fuir le pays dans un climat de peur. Force est de noter toutefois
que les ressortissants grecs établis à Istanbul avaient le droit de
rester pendant toute leur vie dans la ville en application de l'accord
de 1923 sur les échanges de populations et n’ont aucun rapport avec
l’accord bilatéral d’établissement de 1930 susmentionné.
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